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Oualian et la Révolution burkinabè - Prologue

Prologue

 

 au Document intitulé  " Oualian et la Révolution burkinabè

(Ce que la jeune génération doit savoir)"

 


 

Lorsque j’ai vu les prestations de Oualian Noaga Jean-Baptiste à la Télévision nationale au cours de l’émission « Actu hebdo » du dimanche 6 février 2011, je suis resté stupéfait.

Stupéfait devant tant de témérité à vouloir réécrire l’histoire du mouvement révolutionnaire en se taillant une place privilégiée.

Stupéfait devant cette propension au mensonge.

Malgré le poids de l’âge l’individu est resté égal à lui-même. Il excelle dans la perversion du vrai.

Nous savions que durant des années, en apartheid, il abusait les jeunes générations, en réécrivant l’histoire du mouvement à son goût, se mettant en avant comme ayant été le maître à penser de toute la génération de militants ayant évolué au sein de l’UGEV et de la FEANF entre 1968 à 1979.

Nous avons jusqu’ici encaissé tous ses mensonges assortis de sentences pompeuses, sans broncher.

Une moue dégoutée, et pas autre chose, c’est tout ! c’est, pensions-nous, ce que méritaient les balivernes de ce monsieur.

Je me rend compte combien nous nous sommes trompés, en sous-estimant le mal que l’individu de « génie » pouvait causer au sein de la jeune génération. Et Dieu sait combien de militants de cette jeune génération ont été fourvoyés  par le verbiage mensonger de ce mégalomane indécrottable.

C’est encouragé par ce silence, que nous avons voulu méprisant, qu’il a eu l’outrecuidance de s’amener sur le plateau de notre télévision nationale, la chaîne « au cœur des grands évènements » ou encore la chaîne « du plaisir partagé ».

Si l’évènement était de taille (car il faut vraiment avoir du toupet, pour venir devant tous les télé-spectateurs du Burkina Faso étaler tant d’insanités et de pitreries pour amuser la galerie), le plaisir n’a pu être partagé, par nombre de téléspectateurs. Et je suis de ceux-là.

Si mes « amis » du P“CR”V, préfèrent garder le silence (clandestinité oblige !), nous de l’ULC, rien ne nous autorise une telle attitude qui encourage les renégats du genre de Oualian, à se faire passer pour le « génie de tous les temps » du mouvement révolutionnaire national.

C’est pourquoi réagissant au nom de mes anciens camarades de l’ULC, j’ai pris sur moi la responsabilité de rendre public, un document interne inédit jusqu’aujourd’hui et intitulé « Le chemin parcouru ».

Ce faisant, je n’ai pas craint de dévoiler les identités de mes camarades qui ont été des acteurs de la « lutte idéologique » que nous avons livrée contre Oualian et son acolyte Somé Bazanasuon (plus connu sous le diminutif « Baza »).

Mes camarades et moi, nous n’avons pas besoin  de nous cacher. Il y a belle lurette que nous sommes sortis de la clandestinité pour agir à visages découverts en participant activement aux luttes menées, sous les régimes du Conseil national de la révolution ou/et du Front populaire.

Le contenu de ce document est d’une étonnante actualité. Il prouve à suffisance, même pour les incrédules, que Oualian Noaga Jean-Baptiste n’a pas été, n’a pas pu être le « maître à penser » qu’il prétend avoir été pour nous autres qui avons évolué à l’ULC.

Ce n’est pas que je refuse d’avoir bénéficié des enseignements de quelques maîtres en matière de formation politique et idéologique. Loin de moi une telle ingratitude. Au nombre de ceux qui ont contribué à ma formation, Oualian n’y figure pas.

Je n’ai jamais caché d’avoir bénéficié de l’encadrement des aînés comme Soumane Touré et feu Léon Médah.

Pour nous qui l’avons côtoyé un tant soit peu, nous sommes irrémédiablement convaincus que la schizophrénie (mal dont une des manifestations est l’enferment sur soi, sur son ego) qui l’habite est désormais inguérissable.

à force de se raconter des mensonges, il a fini par s’en convaincre. Sinon un homme normal n’aurait pas eu le front de venir devant un public aussi large se livrer à une telle falsification de faits historiques, alors que les acteurs de cette tranche de l’Histoire sont encore vivants et présents sur la scène politique nationale.

Je n’ai pas l’intention de suivre point par point, monsieur Oualian dans toutes les questions qu’il a eu à aborder lors de la fameuse émission.

Je me limite à quelques courts échantillons tirés de ses élucubrations, surtout les passages où il nous interpelle. L’on comprendra que l’on ne peut ouvrir plusieurs fronts à la fois.

 

Revenons donc à notre bonhomme.

Il n’a pas craint de dénoncer publiquement certaines personnes qui se refusent obstinément à s’identifier comme communistes (ce qui dans notre milieu est condamnable et l’individu qui s’adonne à de telles pratiques est tout simplement appelé « zoubatov »). Aussi, qu’on ne s’étonne pas que je prenne sur moi la responsabilité de rendre public aujourd’hui ce document interne du Groupe « Le prolétaire » devenu, après éjection de Oualian Noaga Jean-Baptiste et de son acolyte, Somé Baza, ULC (Union de lutte communiste) puis ULC-R(reconstruite).

Il se proclame communiste. Si ce bonhomme est un communiste, alors, je suis le Dalaï-Lama en personne.

 

En prenant la peine de parcourir « Le chemin parcouru », le lecteur se convaincra, que toute la ligne national-populiste que nous avons combattue et tenté de redresser, dans le cadre du Mouvement du 21 juin (M.21) et de l’ULC est principalement le fait du sieur Oualian.

Nous avons même essayé, mais sans succès de réformer notre prétendu maître, tant il était pétri jusqu’à la moelle des conceptions national-populistes.

Comment pouvait-il, lui Oualian, être notre « maître à penser » ?

Qu’il ait la tête pleine, cela n’est pas en cause. Mais qu’il l’ait bien faite est une autre manche. Le cafouillis causé dans sa tête par des lectures mal digérées, l’a empêché à jamais de pouvoir réfléchir et élaborer une ligne politique et idéologique cohérente et conséquente.

S’il s’agit, dans un verbiage intarissable, pérorant devant ses nouvelles recrues (néophytes ignorants), de rappeler qu’en 1914, lors du nième plénum de la nième session du Comité central du Bureau politique du Parti communiste (bolchevik)— PC(b), que Piatakov s’était opposé à Lénine sur une question en débat, alors là, l’individu est imbattable.

Mais qu’il s’agisse de dire si oui ou non la Haute-Volta a acquis son indépendance politique en 1960, voilà le « maître » qui s’empêtre dans ses idées, qui s’embrouille dans des contradictions inextricables. Il faut l’intervention des « élèves » pour débrouiller la confusion qui règne dans sa tête.

Or, qui ne sait pas appréhender la question de l’indépendance politique ne saurait poser correctement la question nationale dans toutes ses implications (Définition de l’étape de lutte en termes de RDP (ULC) et non de RNDP (P“CR”V) ou de RPLN (PAI-LIPAD), solution de la question paysanne, la question des minorités nationales, etc..).

Jamais, au grand jamais, nous n’avons soutenu que des révolutionnaires burkinabè doivent  choisir leur patrie au bord de la Seine, se prélassant loin des dures réalités de notre pays, et agissant pour leur seul bien-être, sans attache avec le mouvement révolutionnaire et patriotique de leur pays d’origine.

Bien au contraire, nous avons toujours fait nôtre cette indication de Marx, à savoir :

 

« La lutte du prolétariat contre la bourgeoisie, bien qu’elle ne soit pas, quant au fond, une lutte nationale, en revêt cependant tout d’abord la forme. Il va sans dire que le prolétariat de chaque pays doit en finir, avant tout, avec sa propre bourgeoisie. »(In le Manifeste du parti communiste)

 

C’est ici, au Burkina Faso que se passe la lutte concrète contre l’impérialisme international (notamment français, comme on aimait à le dire à l’époque). C’est en luttant contre les alliés nationaux (voici une notion que nous avons introduite à la place de celle de « valets locaux », notion polémique et non scientifique, politiquement parlant) que l’on porte atteinte aux intérêts de l’impérialisme dans notre pays.

 

Lorsque Oualian affirme à la Télé, sans aucune gêne, que c’est lui qui nous a  instruits d’adopter le  concept de « l’indépendance politique », la définition de notre révolution en termes de RDP, il ment. Il ment sans même frétiller des paupières. Quelle outrecuidance, lorsqu’on sait que c’est à coup de forceps que nous avons expurgé des replis poussiéreux de son cerveau toutes les conceptions national-populistes pour l’amener à admettre les concepts d’indépendances politiques, de RDP, à se rallier au fait que les mots d’ordre d’ « intégration aux masses », de « Front démocratique » lancés par l’UGEV sont des mots d’ordre aventuristes et par conséquent dépassant les attributions d’un mouvement étudiant se posant en avant-garde. En somme, lorsqu’on sait, que ce fut par un accouchement douloureux que nous l’avons amené, à son corps défendant pourrait-on dire, à se départir de toutes les conceptions national-populistes dont il a été le géniteur, le père idéologique, le concepteur en chef. La reconversion ne fut pas du tout aisée, car il s’est agi d’une mue totale que l’on exigea de lui.

Il faut signaler que depuis la publication du « Prolétaire » numéro 0, à l’amendement duquel, il a quand même pris part, nous n’avons plus commercé avec Oualian et son compère Baza.

Or, tout le fondement idéologique, toute l’orientation politique, en somme, les fonts baptismaux de notre action ont été jetés par les numéros du « Prolétaire » qui parurent après leur expulsion (lui et son acolyte) de nos rangs.

Notre collaboration s’est arrêtée au seul et unique numéro 0 du « Prolétaire », dans le cadre du Groupe « Le Prolétaire ».  Les « deux vieux », ainsi que nous les avions nommés, n’ont donc aucune part à l’héritage de l’ULC (malgré le fait que Oualian s’en réclame à la Télé) et de l’ULC-R.

Les dits maîtres (Oualian et Baza) ont passé tout leur temps à faire main basse (une véritable OPA) sur les écrits de leurs « élèves » (le lecteur s’en convaincra par la lecture de « Le chemin parcouru », texte qui est l’objet central de la présente publication), de la supercherie.

Qu’est-ce donc, si ce n’est un aveu d’impuissance, lorsque les « maîtres » se voient réduits à s’approprier malhonnêtement le travail de leurs « élèves ». C’est vraiment le lieu de dire que l’élève a dépassé le maître.

 

 « Le chemin parcouru », est un document interne au Groupe, qui a été largement diffusé au sein du Groupe « Le Prolétaire », dans toutes les cellules en France, à Dakar, en Russie et au Pays. Nombreux sont donc les acteurs de la scène politique nationale, issus du « fameux groupuscule communiste »  qu’est l’ULC (selon la déclamation prétentieuse du journaliste d’ « Actu hebdo », qui a eu la difficile besogne de manager Oualian), qui sont issus de nos rangs (et Dieu seul sait qu’ils y sont en quantité et en qualité  et non comme des figurants), qui peuvent attester de son authenticité.

C’était notre plaidoyer auprès de nos « camarades de parti », pour montrer, comment nous sommes venus trouver Oualian dans un désarroi idéologique total (au bord du suicide même) après avoir été chassé de la direction de l’O“C”V, mis au banc, comme un élément dégénéré révisionniste (défenseur de la « Théorie des trois mondes » et de la maxime dénuée de principe selon laquelle « Qu’importe qu’un chat soit gris ou noir, pourvu qu’il attrape la souris », et autres théories révisionnistes kroutchéviennes), et contraint de faire trois autocritiques écrites (dont les copies sont en notre possession), auxquelles ceux de l’O“C”V n’ont pas daigné donner une suite, abandonnant l’individu mal repenti à son triste sort, en proie avec sa conscience de renégat démasqué et honni.

Ce texte intitulé « Le chemin parcouru », qui fait l’historique de notre Organisation, établit clairement  « qui est qui ? », « qui a fait quoi ? » et « pourquoi ?»). Tous ceux qui militaient à l’époque au sein du Groupe en ont pris connaissance et doivent détenir par devers-eux, un exemplaire[1].

C’était, pour des organisations comme la nôtre, se voulant clandestines, la forme de publicité autour des divergences qui peuvent opposer leurs membres.

Ce texte retrace donc le désarroi idéologique et moral dans lequel était plongé Oualian, après sa déchéance et comment nous l’avons « ressuscité », avec quelle ténacité nous lui avons redonné confiance et avec quelles difficultés nous sommes parvenus à le doper pour l’engager de nouveau dans le combat révolutionnaire à nos côtés, incrédules et convaincus que nous étions, qu’il avait encore quelques contributions positives à donner à la lutte de notre peuple.

Ce qui vaut pour Oualian, vaut aussi pour Baza.

Comme nous nous sommes royalement fourvoyés sur le compte de ces « deux vieux » !

Aussitôt mis en selle, voilà leur naturel qui revient au galop. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, nous les avons (au sein du Groupe), à « l’unanimité moins une voix », mis de côté et avons poursuivi notre chemin, abandonnant ces « compagnons de route » à leur dégénérescence.

Oualian Noaga Jean-Baptiste n’a pas démissionné de l’O“C”V. Il en a été chassé comme un révisionniste dégénéré. Il a ensuite tenté de faire une OPA sur le Groupe « Le Prolétaire », après que nous lui avons tendu la perche, et de par ses intrigues (sachez, comme dirait l’autre, que le bonhomme n’est pas qu’intrigant, il est l’intrigue personnifiée), nous l’avons aussi chassé, pensant l’avoir définitivement rangé dans le lot de ce que nous avons appelé à l’époque, « les curiosités pré-révolutionnaires », tout juste bons pour le musée national de l’Histoire.

Nous sommes allés trop vite en besogne ! Voilà qu’il a repris du service.

Mais nous allons œuvrer à l’envoyer là où sa place l’attend.

Aussitôt, après l’avènement de la Révolution du 4 août, sur ma recommandation (Dondassé Talata Eugène m’est témoin), Thomas Sankara le fit venir. En faisant une telle recommandation, j’avais en tête, en mémoire de ses années de militantisme, qu’on lui confie la gestion des Archives nationales, étant documentaliste de formation.

Une fois encore, je dois avouer, que je me suis de nouveau fourvoyé sur le compte de l’intrigant personnage.

Dès sa première entrevue avec le Président Thomas Sankara (c’était au Conseil de l’Entente où ce dernier avait élu ses bureaux), tels furent ses propos :

« Je tiens à dire que je ne suis pas venu pour être ministre ! »

L’infatué personnage ! Tout comme si on l’avait fait venir pour ça !

Dans sa lancée, se croyant le « prophète » appelé, il déclara, s’adressant à Thomas Sankara qui n’avait pas encore dit un mot, même de bienvenue :

« J’ai un préalable : Il faut que tu te débarrasses de Valère Somé et autres mystiques…, de ton entourage, car j’ai mobilisé derrière moi un tas de militants prêts à rallier la Révolution ».

Me voilà bien servi : je n’ai pas dit que je peux… !

Lorsque nous l’avons fait venir, le bonhomme ne pouvait se départir de ses tendances à semer la zizanie là où il met pieds.

Il entreprendra même d’opposer, par des propos que je me garde de rappeler ici,  le numéro deux au numéro un de la Révolution.

Nous avions par notre méprise fait rentrer le ver dans le fruit.

Lorsqu’il déclare que son passeport lui a été confisqué, parce qu’il aurait, un certain jour, à 3 h du matin, en présence de Pierre Ouédraogo, porté la contradiction à Thomas Sankara, ce ne peut ’être qu’affabulations, délire d’un mégalomane en quête de renommée.

Si seulement Pierre Ouédraogo pouvait témoigner !

L’individu ment sans vergogne pour se mettre en valeur. Pendant qu’on a confisqué son passeport, il n’a  pas pour autant déserté les rangs des CDR de Paris, qu’il déroutait par ses théorisations fumeuses, fruits de ses lectures mal digérées.

Se faisant passer pour avoir été notre « maître à penser », il attirait vers lui, les jeunes empressés d’aller à la source du savoir. Mamadou Traoré connu pour avoir longtemps secondé le Secrétaire général national des CDR, aujourd’hui grand avocat de son état, en sait quelque chose et pourra vous en dire long au sujet de ce prophète désœuvré en quête perpétuelle de jeunes néophytes disposés à se faire dévoyer.

Pour revenir à la fable de son passeport confisqué, on se souvient encore de cette CDR de Paris qui n’avait pas la langue dans sa poche, Germaine Pitroïpa, qui tint tête publiquement, à la Maison du peuple, au Président Thomas Sankara, prenant à contrepied son discours. A-t-elle encouru un courroux quelconque de la part du camarade Président ? Bien au contraire, elle fut nommée Haut-Commissaire du Kouritenga.

C’est dire donc : à beau mentir celui qui est certain qu’aucun témoignage ne peut venir le contredire !

 

Jusqu’aujourd’hui,  nos deux « maitres » sont restés sans réaction vis-à-vis de notre texte,  « Le chemin parcouru », qui est un document qui invitait nos deux « vieux » à soutenir la fameuse « lutte idéologique », qu’ils affectionnaient évoquer, à tout propos et hors de propos. Quand la « lutte idéologique » vint, elle cessa faute de lutteurs. Ils désertèrent l’arène. Ils avaient le droit et même le devoir, de par les principes organisationnels du Groupe, de soutenir cette lutte idéologique. Le pouvaient-ils ?

Ce sont des gens qui excellent dans les manœuvres sordides, les intrigues  montées de toutes pièces sur la base de calomnies mensongères.

 

 

J’ai trouvé indispensable d’introduire « Le chemin parcouru » par ce prologue, afin de situer le lecteur.

 « Le chemin parcouru », est un document à verser dans le domaine public pour servir à ceux qui veulent écrire l’histoire de notre peuple, l’histoire vraie et non l’histoire taillée sur mesure pour faire une place imméritée à des mégalomanes non repentis.

Il faut empêcher les charlatans de tout acabit de continuer à pêcher en eaux troubles.

L’histoire du mouvement étudiant de notre pays reste à écrire. Je me propose  de  livrer bientôt dans un ouvrage à paraître, ma contribution à la connaissance de cette histoire.

 

Je prie le lecteur de pardonner la véhémence de mes propos, mais il n’y a pas d’autres moyens de commercer avec les falsificateurs de l’histoire.

 

 

Ma gratitude va à ceux des lecteurs qui trouveront un intérêt politique et historique à cette publication et qui œuvreront librement et  gratuitement à sa large diffusion.

La jeune génération doit savoir, pour agir avec conscience et échapper aux pièges et autres machinations des falsificateurs sans vergogne de l’histoire.

 

« Dandin tu l’auras voulu ! »

 

 

 

Ouagadougou, ce jour 7 février 2011

 

 

 

 

.

 

Dr Valère D. Somé

 

 

E-mail : valere.some@yahoo.fr

 

 

 

 

P.S. : Je tiens à la disposition de ceux qui le désirent le document « Le chemin parcouru ». Il suffit pour cela de me communiquer un e-mail pour l’obtenir en fichier joint.



[1] . C’est le lieu de demander à celui de mes ex-camarades qui conserverait encore une copie de ce document de bien vouloir me le communiquer afin de me permettre de compléter, les parties de mon exemplaire qui ont été rongées par les souris. Merci d’avance. Oualian est concernée par cette invite,  puiqu’ils (lui et son compère) en avaient été « ampliataires ».



24/10/2011
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